Environnement & Climat
Face à l’urgence climatique, nous avons développé des expertises reconnues autour des enjeux de nos clients liés au climat et à l’environnement, avec la conviction que la RSE doit être un levier de différenciation et de création de valeur.
Pour aller plus loin
Créée en 1993, Alcimed est un cabinet de conseil en innovation et développement de nouveaux marchés spécialisé dans les secteurs innovants : sciences de la vie (santé, biotechnologie, agroalimentaire), énergie, environnement, mobilité, chimie, matériaux, cosmétiques, aéronautique, spatial et défense.
Notre vocation ? Aider les décideurs privés et publics à explorer et développer leurs terres inconnues : les nouvelles technologies, les nouvelles offres, les nouveaux enjeux géographiques, les futurs possibles et les nouvelles manières d’innover.
Répartie dans nos 8 bureaux dans le monde (en France, en Europe, à Singapour et aux Etats-Unis), notre équipe est composée de 220 explorateurs de haut niveau, multiculturels et passionnés, ayant une double culture scientifique/technologique et business.
Notre rêve ? Être 1000, pour dessiner toujours plus avec nos clients le monde de demain.
La RSE, également appelée Responsabilité Sociale des Entreprises, est définie par la Commission Européenne comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. Au niveau mondial, c’est la norme ISO 26000 qui définit le périmètre de la RSE et en précise les 7 dimensions essentielles : la gouvernance de l’organisation, les droits de l’homme, les relations et conditions de travail, l’environnement, la loyauté des pratiques, les questions relatives aux consommateurs, et les communautés et le développement local.
Plus simplement, on peut dire que la RSE définit la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable.
À travers sa politique RSE, une entreprise va donc chercher à avoir des impacts sociaux et environnementaux positifs, tout en étant économiquement viable.
Que ce soit par obligation légale de l’article 225 de la loi Grenelle II ou pour valoriser une démarche de développement durable, le reporting RSE devient un exercice de plus en plus courant pour les entreprises. Or cet exercice, parfois complexe, nécessite la hiérarchisation des multiples enjeux du développement durable vis-à-vis des priorités de l’entreprise mais également des besoins, parfois contradictoires, de ses parties prenantes.
Une matrice de matérialité est un outil reconnu pour réaliser cette hiérarchisation. C’est une représentation graphique à 2 axes, dans laquelle sont positionnés les enjeux de RSE d’une entreprise, d’un groupe, en considérant d’une part leurs impacts sur l’activité de l’entreprise, et d’autre part l’importance accordée par les différentes parties prenantes.
La décarbonation est le processus visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, à savoir principalement le dioxyde de carbone et le méthane provenant des diverses sources liées aux activités économiques.
L’éco-conception est une méthode de conception de produits et services qui vise à minimiser leur empreinte environnementale tout au long de leur cycle de vie, depuis l’extraction des matières premières jusqu’à leur fin de vie. Cette méthode est aujourd’hui encouragée par les réglementations européennes et françaises, ainsi que par les attentes croissantes des consommateurs en matière de développement durable.
Comme le souligne l’ADEME (Agence française de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), l’écoconception peut permettre de réduire jusqu’à 50% l’empreinte environnementale d’un produit, tout en offrant des avantages économiques, tels que la réduction des coûts de production et d’exploitation, la valorisation de l’image de marque et l’ouverture de nouveaux marchés.
L’économie circulaire est un phénomène consistant à produire des biens et des services de manière plus durable, c’est-à-dire en limitant la consommation et le gaspillage des ressources planétaires et la production des déchets. Ce modèle économique s’inscrit directement dans un mode de développement durable.
De plus en plus d’acteurs industriels s’intéressent à intégrer des principes de circularité pour développer des approches de production durable et de consommation durable.